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La rue et le chemin
Une BD inspirée d'histoires vraies
Écrite et dessinée par Jérémie Gallegos, 2024
Auto-édition, 100 pages, 20€
À deux reprises, Jérémie Gallegos a été accompagnant pour SEUIL. Il s'est inspiré de son expérience hors du commun pour dessiner "La rue et le chemin", une bande dessinée dans laquelle il raconte la marche de deux jeunes : Kevin et son accompagnante Carine, ainsi que Samia et son accompagnant Ismaël.
Chacun des deux protagonistes suivent leur chemin à leur manière avec les coups durs, les colères, les rencontres et les joies qui accompagnent la marche. Cette BD d'une centaine de pages foisonne d'anecdotes, de surprises et de petits moments poignants du quotidien.
À Compostelle
Hommages au chemin de Saint-Jacques
Sous la direction de Gaële de La Brosse, 2021
Éditions Salvator, 256 pages, 17€
Pour honorer la troisième année jubilaire de ce siècle, 34 personnalités ayant effectué le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle partagent leur expérience avec enthousiasme.
Chacun offre ici un texte inédit, s’exprimant dans le genre littéraire qu’il a choisi (récit, abécédaire, lettre, nouvelle, poésie, pièce de théâtre, etc.). Ces émouvants témoignages, pleins de tendresse et d’humour, parlent de liberté, de partage, de fraternité et de joie retrouvée.
Les droits d'auteur sont entièrement versés à SEUIL.
L'empreinte de la marche
Sous la direction de SEUIL, 2020
Préfaces de Boris Cyrulnik et Antoine de Baecque
Éditions Selena, 171 pages, 10€
À travers des extraits de leurs journaux de voyage, ce livre coproduit avec les éditions Séléna, rassemble les témoignages étonnés, abattus, joyeux ou émerveillés, et dans tous les cas émouvants, de 45 jeunes ayant marché avec SEUIL.
Les droits d'auteur sont entièrement versés à SEUIL.
Le pèlerinage des 88 temples
sur les chemins sacrés du Japon
Ariane Wilson, 2019
Préface de Sylvain Tesson
Éditions Arthaud, 234 pages, 6,90€
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C’est à pied qu’Ariane Wilson a effectué le pèlerinage de Shikoku, au cœur d’un Japon méconnu et secret, sur les pas du maître Kûkai, fondateur du bouddhisme Shingon. Quelque 1 400 kilomètres parcourus en un peu moins de deux mois, avec, sur le dos, un étonnant abri, conçu et fabriqué pour ce périple. Vierge au premier jour, il devient peu à peu la fresque de la progression d’Ariane et de son amie Aude, tatoué des calligraphies récoltées à chacun des 88 temples. La progression géographique se double peu à peu d’une progression intérieure, visée du pèlerinage : accueillir l’autre, réfléchir au sens du don, apprendre à trouver la beauté partout où elle se trouve. Un hymne à la délicatesse.
Les droits d'auteur sont entièrement versés à SEUIL.
L'essence de la vie
Ils quittent la ville pour vivre de la terre
Bernard Ollivier, 2019
Éditions Arthaud, 272 pages, 19,90€
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Dans une ferme blottie au milieu des bois de Sologne, la résistance s’organise. Une quarantaine d’hommes et de femmes, presque tous venus des cités polluées jusqu’à l’asphyxie, abandonnent leur CDI et la sécurité de l’emploi, avec une ambition : faire pousser des légumes bios sur un sol nettoyé du poison chimique qu’on y a déversé, nourrir sainement leur famille et nous autres avec des aliments naturels, travailler dans la liberté et le bon air. Aucun n’est paysan. Sont-ils l’avant-garde d’une troupe qui va révolutionner notre mode de manger ?
Les droits d'auteur sont entièrement versés à SEUIL.
Bernard Ollivier, le fondateur de l'association, est un journaliste voyageur. Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur la marche et le voyage que vous pouvez retrouver sur le site des librairies indépendantes.
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Exemple de livre à propos de SEUIL :
Marche et invente ta vie
2000 km à pied pour tenter de se reconstruire
Bernard Ollivier, 2015
Éditions Arthaud, 240 pages
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Rebattre, entre 14 et 18 ans, les cartes de leurs vies un peu biseautées par des enfances brisées, c’est le contrat que Seuil, association atypique en France, propose à des adolescents égarés, embourbés dans des conflits familiaux, des bandes ou des séries de délits qui les ont conduits dans une impasse ou en prison. Le contrat proposé est simple et brutal : marcher un peu moins de 2 000 kilomètres, sac au dos, pendant trois mois, par tous les temps et en toutes saisons, dans un pays étranger. Et avec une contrainte terrible pour eux : ni musique, ni téléphone, ni internet pendant 110 jours !
À ce pari fou, une seule règle : c’est le jeune qui est maître de dire « j’arrête » ou « je continue ». Dans tous les cas, c’est son juge qui arbitrera. Ce qu’ils gagnent ? Une place dans la société qu’ils avaient rejetée. Douze ans après le premier départ, que sont devenus ces gamins perdus, ces possibles gibiers de potence ? Attention aux jugements hâtifs. Ceux qui « ratent » une marche ne ratent pas obligatoirement leur réinsertion et ceux qui font une rechute ne ratent pas nécessairement leur vie. Pour savoir, il fallait les revoir, ceux qui ont « réussi » et ceux qui ont « échoué ».